La brêche aux Loups
Savez-vous pourquoi le quartier de "La brèche aux Loups" s'appelle ainsi ?
Et bien tout simplement parce que sur ce terrain existait une mare nommée "La Mare Detmont" et qu'une partie des terres étaient historiquement nommées "Les Longues Ventes"... alors comme ces deux appellations n'étaient pas très commerciales, lors de la construction du lotissement en 1968, on donna à ce quartier le nom de "La Brèche aux Loups" qui était en fait le nom historique d'un territoire tout proche se trouvant en foret d'Armainviliers, juste derrière l'actuelle gare.
Allez comme je vous sens déçus je vous transmets les notes de concernant les Loups à Ozoir.
Allez comme je vous sens déçus je vous transmets les notes de concernant les Loups à Ozoir.
Loup : canis lupus à toujours existé dans la Brie
C'est surtout pendant le Moyen Age que l'on relève sur l'ensemble du département l'existence de meutes de loups. Nombreux sont les textes qui nous content les divers méfaits dont ces derniers se seraient rendus coupables en particulier dans les bois de la Brie.
Au IXe siècle, lors des invasions Normandes, les forêts étaient très dense et constituaient les immenses terrains de parcours de ces animaux, ce qui fait dire à Michelet que « les bêtes fauves semblaient avoir pris possession de la France des forêts »
Elles fournissaient aux bêtes rousses de vastes terrains de chasse où elles pouvaient se cacher et échapper à leurs poursuivants. Vers 1450 on aurait été contraint de renoncer au labourage avec l'emploi des bœufs, parce que les loups détruisaient les attelages sans qu'il soit possible de les en empêcher. Cette race d'animaux était jusqu'au XVIe siècle la terreur de la Brie (histoire de l'agriculture dans la Brie par l' Abbé Denis XIVe lecture)
Peu de statistiques ont pu être relevées dans notre département au sujet des destructions de Loups. Trois indications peuvent être relevées à ce sujet :
l'an XII : 180 loups ont été tués
1824: 14 adultes 26 louveteaux,
1834 : 30 loups, 5 louves et 24 louveteaux.
Pendant la guerre de 14 une louve et deux petits ont été tués en forêt d'Armainvilliers.
C'est surtout pendant le Moyen Age que l'on relève sur l'ensemble du département l'existence de meutes de loups. Nombreux sont les textes qui nous content les divers méfaits dont ces derniers se seraient rendus coupables en particulier dans les bois de la Brie.
Au IXe siècle, lors des invasions Normandes, les forêts étaient très dense et constituaient les immenses terrains de parcours de ces animaux, ce qui fait dire à Michelet que « les bêtes fauves semblaient avoir pris possession de la France des forêts »
Elles fournissaient aux bêtes rousses de vastes terrains de chasse où elles pouvaient se cacher et échapper à leurs poursuivants. Vers 1450 on aurait été contraint de renoncer au labourage avec l'emploi des bœufs, parce que les loups détruisaient les attelages sans qu'il soit possible de les en empêcher. Cette race d'animaux était jusqu'au XVIe siècle la terreur de la Brie (histoire de l'agriculture dans la Brie par l' Abbé Denis XIVe lecture)
Peu de statistiques ont pu être relevées dans notre département au sujet des destructions de Loups. Trois indications peuvent être relevées à ce sujet :
l'an XII : 180 loups ont été tués
1824: 14 adultes 26 louveteaux,
1834 : 30 loups, 5 louves et 24 louveteaux.
Pendant la guerre de 14 une louve et deux petits ont été tués en forêt d'Armainvilliers.